Avec Autumn Variations et une nouvelle collaboration avec G-Shock, Ed Sheeran soutient discrètement son ami John Mayer, tandis que ce dernier aide Ed à déposer sa marque.

Dans un article du New Yorker d'octobre 2011, publié un an après que Taylor se soit publiquement et faussement attaquée à John Mayer à l'occasion de son anniversaire en automne 2010 (en utilisant mes propos tenus en ligne dans sa chanson plagiée « Dear John »), Taylor démontrait délibérément sa capacité à le cibler sournoisement tout en copiant sa carrière et en entretenant une façade trompeuse, notamment en présentant l'histoire de la vente de son album au Starbucks de Times Square comme une scène de vœux enfantins et murmurés. Ce Starbucks se trouve être l'un des lieux où j'avais communiqué (publiquement à ce moment-là) en ligne avec John durant l'été 2010. Comme par hasard, au début de l'article, elle se rendait au Met Gala où elle avait rencontré John pour la première fois et en avait informé la presse, toujours prompte à relayer l'information.

Un extrait de l'article rapporte : « Alors que la voiture s'engageait sur la Cinquième Avenue, Taylor Swift se souvint d'une virée nocturne, l'automne dernier, pour acheter son dernier album, « Speak Now », triple disque de platine, dans un Starbucks de Times Square. D'une voix grave et murmurée, elle confia : « J'étais tellement contente ! C'était un de mes rêves. Je vais toujours chez Starbucks et j'espérais qu'ils vendraient mon album. » J'avais du mal à croire qu'elle puisse s'enthousiasmer pour une simple opportunité de vente chez Starbucks, mais Swift insistait. « Quand on va chez Starbucks, il n'y a que deux CD en vente », dit-elle. « Et je me suis dit que ce serait vraiment exceptionnel s'ils voulaient bien vendre un de mes CD. » L'imposante silhouette de calcaire du Metropolitan Museum apparut alors à l'horizon. »

Ces abus s'intitulaient « Tu m'appartiens ».