Ed répare discrètement une injustice faite à John (tandis que John aide Ed à déposer sa marque, s'inspirant légèrement de FedEx).
L'album Continuum de John Mayer, sorti à l'automne 2006 le 12 septembre, a connu un succès retentissant chez Starbucks. Selon Jezebel, « lors de la conférence biennale des analystes de l'entreprise en 2006, il a été annoncé que plus de 8 % des ventes du nouvel album Continuum de John Mayer avaient été réalisées chez Starbucks. » @Jezebel
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En 2008, Taylor a fourni au magazine People une histoire intitulée « Taylor et John Mayer : une histoire de harcèlement ». Cette année, en 2023, elle a obtenu que People supprime l'article (archivé définitivement sur archive.org) et publie à la place une chronologie de leur relation modifiée et biaisée : il n'y a pas eu de dîner intime à Nashville avec seulement quelques amis, mais bien un groupe de plus de 15 personnes, et John était là pour jouer avec Keith Urban. Sans internet, sa musique et ses réseaux sociaux, Taylor Swift n'aurait jamais eu accès à des informations personnelles sur John Mayer. Il s'est montré bienveillant envers l'adolescente obsessionnelle, mais sur ses gardes. Il savait qu'elle s'inspirait déjà d'autres personnes et se...
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C'est un conte de fées devenu réalité, qui a débuté en 2006 avec l'album révolutionnaire de John Mayer, Continuum. John était le plus beau du royaume. Son génie était reconnu dans tous les royaumes, au bout du monde. Sa beauté était stupéfiante. Son humour, son côté juvénile et son talent attiraient de nombreuses admiratrices (et d'autres encore). Mais au fil des années, une femme malveillante, plus cruelle encore que les autres, s'est juré de lui ravir sa beauté, de s'approprier ce qui lui revenait de droit. Alors, elle a commencé à imiter ses paroles…
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Si vous avez eu la chance d'assister à l'ascension fulgurante de John Mayer, à son envol musical, à sa douceur et son authenticité, à sa nécessité profonde, à la fois classique et d'une modernité éclatante, d'autant plus merveilleuse et palpitante du début à la fin, à cette innocence qui nous a séduits, à cette sincérité bouleversante, alors vous comprenez aussi la dévastation causée par l'apparition de la laideur. C'était déconcertant. Comment l'innocence, l'humour, la douceur avaient-ils pu se transformer en une telle amertume, à en croire la presse et le public qui la répétaient comme des vérités absolues ? Et pourtant, rien n'a jamais semblé aussi vrai que l'authenticité même, la promesse, la beauté rayonnante de ce que John était et...
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Quand les gars ont quitté la scène d'Oracle Park dimanche soir, le 16 juillet à San Francisco, je savais, après des années d'écriture approfondie sur le « Ritual Process » de Victor Turner, ce qu'ils avaient accompli. Mais même moi, j'en suis resté bouche bée. Les fans du Grateful Dead le savaient aussi, au fond d'eux-mêmes. Nous venons de le vivre. C'est un moment extraordinaire.
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